29 Avril

Nous profitons de la fraicheur du matin pour louer des VTT, juste devant les loueurs de vélos nous sommes attirés par des Gens du Xinjiang qui font cuire des galettes, les méthodes de fabrications dans les rues sont toujours attrayantes,

et nous prenons le chemin des champs. Balade sympa, on rencontre d’autres Français qui ont des problèmes avec leur vélo, on croise les autochtones qui on vraiment l’habitude des étrangers, ou la moindre chose à vendre ils vous interpellent pour attirer votre attention, couronne de fleurs, a boire ou a manger,  et aussi vous demander de payer pour prendre n’importe quelles photos. On passe notre chemin, on se dirige vers un vieux pont de pierre, appelé pont du dragon,

après trois heures de balades au travers des rizières ou quelques chemins nous fons descendre de vélo.  Un petit village entoure se pont, l’aménagement de ce village se fait pour profiter de la manne touristique. On se fait accrocher par une femme qui nous propose de redescendre la rivière en « bambou boat » mais comme il est midi je lui fais savoir que notre ventre désire d’abord de finir de se plaindre et que nous verrons après. Elle nous mène à un restau, un peux cacher, au bord de l’eau, je fais attention au prix en demandant la carte avant de s’installer, ça vas, pas trop chère, de toute façon on n’a pas trop guère le choix, s’il y en a d’autres ils s’alignent tous au niveau prix et souvent tous le même menu. C’est en mangeant que l’on discute de la chaleur, du trajet, de la fatigue et que l’on peut ce faire plaisir un peux à redescendre en radeau de bambou. Ok ! Le repas était correct, et dès qu’on bouge on voie ressurgir la femme qui nous avait accroché, elle nous a pas lâchée, elle m’amène à la billetterie et c’est là que je dévoile ma carte de guide pour éviter de payer le prix touristique.  Bien agréable cette descente, le batelier nous laissent glisser au fil du courant,

c’est tellement agréable et paisible qu’après le repas la digestion nous fait somnoler,  quelque passages nous fait monter l’adrénaline et nous réveille, le batelier s’affaire à nous  guider dans les passages des petits barrages aménagés sur la rivière, quelques moment de rigolades et un peux d’éclaboussures lorsqu’on descend ces chutes d’eau.

Après plus d’une heure, arrivé, reprise des vélos et on continu notre balade pour aller vers une des grottes à visiter. Au guichet de celle-ci cela il se fait un peut tard, calcul du temps pour la visite et du retour on risque de rentrer tard. Je prends les renseignements pour l’heure d’ouverture  pour le lendemain, et l’on retourne sur tranquillement sur la ville.

Belle ballade, belle journée.

la photo du jour: un mariage au fil de l'eau, ça vous tente,   浪漫 , non? comme disent les chinois

27 Avril

Nous arrivons à la gare routière indiqué sur le guide, à l’extrémité de la ville de Zhaoqing pour prendre les bus qui relient les villages, nous nous partons pour le premier village Bagua mais je decide de visité en premier le deuxième village indiqué sur le livre, comme il me paraissait plus loin, a une heure de route, je préférai faire d’abord celui là en cas de problème. Pourquoi village  bagua, reprise des explications donné sur le livre : villages uniques par leur forme et leur utilisation de principes du issus du Feng shui. Plus communément appelé Bagua Cun [phonétiquement : bagoua tseunn], vieux de 700 ans, dessine un octogone, selon les principes du bagua, symbole octogonal du taoïsme qui comprend huit trigrammes correspondant aux changements dans les huit différents phases de la vie. Au village de Licha Cun, à partir d’une terrasse centrale,

les maisons rayonnent en taiji(symbole du yin et du yang), formant un véritable labyrinthe.

Nous partons donc pour le village de Xiangang Cun, l’autre village bagua, date de la dynastie Ming, plus vivant ??? c’est ce que dit le guide, il est aussi moins touristique, c’est sur,  lorsqu’on le chauffeur nous a dit de descendre au bout d’une heure trente de petit bus à travers la campagne, on arrive dans un village de bord de grande route, il nous indique de partir à pied dans  la rue de gauche et quand nous demandons aux autochtones ou est le village : ils nous répondent qu’il n’en savent rien.  Ha ! finalement quelqu’un sait, il nous indique un autre chemin, pas déçue de l’accès, des rizières remplient de poubelles, une pollution a faire peur, première stupéfaction pour Yoann. 10mn de marche nous arrivons au village bagua,

ou sont les gens qui habitent le village ??? le village est abandonné, la végétation commence à envahir les ruelles empierrées et défoncées, les maisons commencent à s’éventrées, seul les temples sont ouvert est reste accessibles.

Retour à la route principal et pour Yoann c’est la deuxième stupéfaction de voire des cages à chiens avec leurs occupants qui attendent d’un air soumis à leur destin de servir de repas futur.

Comme il déjà une heure de l’aprèm nous décidons de manger sur place avant d’aller au deuxième village, le restau se trouve au bord de la grande route et juste en face de l’école principale, nous devenons l’atraction principal des élèves avant d’aller à leur cour.

Après un bus puis à un lieu de croisement perdu en campagne ou on attend un autre bus pour arrivé à Licha Cun. Là ce n’est pas pareil, une billetterie : 20yuans pour promener autour et dedans le village restauré,

presque vide d’habitant, on se perd un peu dans le dédale des ruelles mais on a vite  fait le tour.

Milieu d’aprèm on revient sur Zhaoqing pour réserver notre billet de bus pour Yangshou. Oups cette gare routière est déporté loin en dehors de la ville, faut le savoir, pour un étranger qui ne parle pas le chinois il vous faut trouver un chinois qui vous indique en anglais ou elle est. Puis comme on a un peu de temps on visite la vieille ville avec ces remparts.

Lundi 26 Avril.

En premier nous partons à l’agence que je connais pour faire renouveler mon visa, et pour faire un visa pour Yoann, aucun soucis en vue, je connais la personne de l’agence et comme ce n’est pas la première fois cette année que je le fait, nous l’aurons dans la fin de l’après midi. Nous partons  sur l’île d’en face, la plus connu : Hong Kong Islang. Nous arrivons en métro à la station « la central » pour parcourir les petites rues qui traversent de droite et de gauche le boulevard « Queen’s road » dans le Sheung wan, une manière de ce plonger dans des petites ruelles pittoresques d’échoppes, de poissons, de fruits du monde entier, de bazar, d’antiquités et de souvenirs, et comme il n’était que dix heure les magasins s’ouvraient  la foule des touristes n’était pas encore là, seul les autochtones s’affairaient à leur affaire , donc tranquillité

Dans notre quête de découvertes, et déambulant de rues en rues nous passons par le magnifique temple Taoïste de Man Mo coincé entre deux vieux immeubles et en arrière plan les grattes ciel coller à flan de colline.

Nous irons jusqu'à « new Market street » et l’embarcadère des bateaux à turbines  pour le départ  vers Macao.

Ce petit tour dans ces ruelles qui ne prend que deux tranquilles heures, nous plongent dans un univers de contrastes. Et comme nous nous n’avons pas encore eut assai, nous repartons en plein milieu de ce quartier, « SOHO » pour déjeuner.

Juste après encore quelques rue et nous nous dirigeons vers le funiculaire, le Peak tram, ou nous prenons un ticket pour monté le long du Victoria Park et au dessus des grattes ciel jusqu’au pic. Toujours impressionnant la montée, vous êtes collé au siège par le degré de la pente, c’est un câble qui tire le funiculaire.

Arrivé en haut un petit café avec vue sur la baie, et comme dit Yoann, j’aurais parié que l’on arrivait en haut dans un magasin que j’aurais gagné.

Quelques photos souvenir, un peut de balade, et un arrêt long sur cette ville martienne, on peut vraiment l’appeler une ville d’un autre monde, avec ces grattes ciel fait comme un jeux de laigo entrecroiser de pièces démesurées d’électronique  grâce aux structures d’immeubles très étranges et ces panneaux géants lumineux de publicité de toutes sortent. Nous redescendons par le funiculaire

pour traverser « Central »toujours à pied et atteindre les embarcadères des bateaux pour traverser la baie.

De retour à l’hôtel vers 17h pour prendre nos sacs à dos et ce diriger vers l’agence pour récupérer nos visa. 18h on prend le métro direction  la frontière. Passage sans trop de difficulté mais beaucoup de monde. De nouveau le train pour  Guangzhou pour aller à l’hôtel, mais a force de ne pas ce presser on  est arrivé un peu tard, 22h, de plus le nouvel  hôtel soit disant pas chère trouvé par notre guide lonely planet ce trouve un peux déporter par rapport à la ville. Quand nous y arrivons, faute de bien demander ou il se trouve, c’est  « bien indiqué » mais pas facile à trouver, les chambres sont hors de prix, donc on retourne à l’hôtel ou j’ai l’habitude d’allé sur l’île de Shamian, mais là, surprise aussi les prix sont drôlement à la hausse aussi, mais comme il est 23H pas le choix , on prend a regret, à croire que soit le fait qu’ils sont sur le nouveau guide qu’ils se permettent d’augmenter les prix ou parce que ils savent qu’on a plus guère le choix dans ces heures tardives.

Quelques insolites pour le fun:

Le 24 avril départ pour Hong Kong, arrivé à Guangzhou,  pour les Français on nomme la ville Canton, départ de Liulipin 10h20, arrivé Guanzhou 5h30, après 17h de train, petit café au KFC du coin, et re le train pour ShenZheng pour passer la frontière de Hong Kong.     Je mets les pieds dans les rues de Tsim Sha Tsui Est de la presqu’ile de Kowloom à 9h du matin. Objectif, trouver une chambre. Je vais d’abord rejoindre un couple de Français qui mon précédés de quelques jours, et qui eux, sont tombés en pleine débâcle des Français bloqués, voulant rentrer en France et ayant  les vols annulés  à cause des cendres volcaniques au dessus de la France. Pour eux, ce fus la galère pour trouver une chambre pas trop chère, pour moi la crise étant passé je pensais que cela pourrais aller, mais comme on était vendredi ce n’était pas gagné. Je vais voire à l’hôtel que j’avais vu au mois de Janvier et qui me proposait des chambres  à 250$ mais là, le prix était de 800$, après avoir poussé une gueulante,non merci, je me rabats sur les deux immeubles restaurés des Chungking Mansions.     Et hop ! On fait un étages : 1, 2, 3 hôtels, puis un autre étage, 1, 2 hôtels, puis encore autre étage, « y a boire et a manger », du restauré à la vas vite au restauré raté, à l’hôtel sans en être un, de la chambre sans fenêtre et au matelas défoncé. Beaucoup vous disent que c’est plein et qu’il faut revenir à midi pour savoir s’il en a qui se seront libérés. Je sors et je fais le deuxième immeuble,     à l’entré comme dans tous les quartiers de cette endroit, des Indous vous interpellent pour vendre copies de montres, vêtement sur mesure, etc. et chambre pas chère, moi, poliment je rejette toutes propositions. Puis sur le trottoir une fille me dit en me tendant une carte de visite : « Guest house », je lui demande en chinois si elle a des chambres de libre et me répond qu’elle en a, je vais voire, petite merveille coincé parmi les ateliers de coutures, avec salle bain sur 2m carré et vue sur la rue, à 200$ la nuit, je prends.     Juste le temps de me reposer une demie heure pour après prendre le bus,  l'arrêt de bus est juste en face de l'hôtel, pour l’aéroport, , ou je dois rencontrer un Français du nom de Yoann, avec qui je correspondais sur MSN, et don son désir était de venir à Wudang apprendre du Taï chi. On c’était arrangé qu’il atterri le jour de mon arrivé sur Hong Kong, pour visiter et voyager ensemble pendant les jours qui vont suivre.

un lien pour lire le blog de Yoann, ces commentaires et  sa découverte de la Chine.

Dans les rues d'Asie et de pays pauvres, les métiers sont diverses et innatendus:

Ce bavardeur a demi mots et un déboucheur d'oreilles, ce n'est pas tombé dans l'oreille d'un sourd pour comprendre  que certainne sourdité peut raporter gros: cela peut allé du simple bouchon de cire gros comme petit pois sec à 20 yans l'extraction à gros comme une fève, prix à discuté (tu m'entend bien là, hein!).

 Ce Monsieur a trouvé une idée originale pour muscler son bras hémiplégique, fautes de moyen on traine son sceau rempi de ciment. Ce qu'il y a d'étonnant c'est que personnes ne se retournent pour regarder ce qu'il traine et pourquoi.