Pendant deux années j’avais fait connaissance d’une fille très mystique, je vous en est déjà parle dans un des récits intitules “mental des cellules”. Elle me dit qu’elle connait une personne qui pourrait me faire voire des choses extraordinaire, et qu’elle est prête a me rencontrer pour une expérience de avec l’haut-de-là. Mon Maître m’ayant permis de voire de l’autre cote, je pensais revoir la même chose et retrouver ce même bonheur que j’avais reçu et vécu.

   Il fallait que je me prépare avant de la rencontrer : Faire le jeune pendant trois jours avant. Nous y somme allés un vendredi soir, soir de plaine lune, à quelques pattées de maisons de mon amie. Lorsque nous arrivâmes chez la personne, une femme au long cheveux blouclées, habiller dans une tenue de type Gitane nous accueillis, mon amie me laissa sur le pas de porte en me disant qu’elle reviendrait plus tard quand la cérémonie sera terminer .

   Je rentrais dans l’appartement, des bougies rouge éclairaient d’une lumière tamisée le salon. Des tapis recouvraient le sol, une petite table basse ou fumais de l’encens, et des coussins de toutes sortes, tous autour contre les murs. Les murs recouverts de grandes tentures de tissus de couleurs multicolores sans graphisme particulier avec quelques dessins (don je ne trouve pas le mot)par ci par la. Je me mis a l’aise, assis en tailleur, calée entre des coussins, elle me demanda de respirer le plus profondément possible, le plus longtemps possible , a me sentir saoul d’ oxigenne. Quand ma tête commençais a tourner , elle me fit boire qu’elle chose de noirâtre et légèrement amère Cela sentait le tabac. Puis de recommencer, de respirer a en être saoul et de continuer a boire. Je ne sentais plus, mes jambes, mon corps me lâchait, je ne voyais plus rien. Tous étais devenus très sombre, je ne voyais plus celle que j’entendais dire, respire a fond, devant moi un trou noir, les flammes des bougies etaient dans tous les sens. et n’éclairaient plus rein, ils s’ entremelaient par deux pour former des serpents de lumières entre-lassés.

    Mon corps partait, ne ne pouvais plus bouger, j’entendais mon Coeur qui palpitait par accout, il déraillait, je reprenais mon souffle et il redemmarait, dans mes oreilles un bruit de chuintement devenais de plus en plus fort, je me sentais tremper, je compris que de l’eau coulait, de ou devait elle? De très haut, je vis comme une sorte de deux rocher plats, en ces deux rocher sortait l’eau, ils souvrait de plus en plus pour cracher des cascades d’eau. Et je voyais les flames des bougies mais des serpents entrelacés par deux montaient pour former une voûte au dessus de cette énorme cascade. Autour de cette voûte apparaissait des têtes d’oiseaux noir au yeux d’or qui me regardais monter vers la voûte, je me sentait mourir, j’en appelais a ma respiration pour relancer mon Coeur. Passer la cascade d’eau et traverser la voûte, je vis au dessus de moi un ciel d’un bleu parfait, en dessous moi, la mère, de chaque des hommes a tête d’oiseau noir au yeux d’or, me hissaient sur un bateau, on entendit des rames frapper l’eau et le bateau commençais a s’avancer, une grande voile carre se mis a ce glonfler au vent, je partais pour un long voyage. C’est alors que je quittais mon corps, ma dépouille restait immobile sur le brancard qui m’avait transporter, tandis que mon âmes’avancais sur le pont du bateau, des être aux tête d’oiseaux murmuraient entre eux, dantis que des femmes en longues robes blanche me faisait signe d’aller vers l’avant du bateau tout en chantant des chants merveilleux. Je voyais a présent plus distinctement ce bateaux, une galère égyptienne antique, les hommes a tête d’oiseaux étaient des ibis comme dans les représentations des écritures égyptiennes. Ma marche vers l’avant du bateau n’en finissait pas. Des crocodiles géants plongeaient dans l’eau au passage du bateaux le faisant tanguer, tous les personnages me regardaient, je pense qu’ils regardaient si ma peur l’emportait sur mon courage, ils attendaient que je leur disent , “en avant”.. Les rames allaient dans une cadence plus rithmées.

    Quand les flots devinrent plus calmes, sur la proue du bateau ou j’étais arrive, on pouvais apercevoir des myriades d’étoiles, nous avions quitté la terre pour traverser des galaxies. Je me retournais pour voire le bateaux sur toute sa longueur, un Praître Egyptien se tenait devant moi et m’attendais, dans ces mains une énorme boule de crystal, a l’intérieur je vis une boule de feu qui s’étaignais pour devenir terre aride, puis une pluie incessante y tombait, ensuite le ciel bleu apparu, terre et mère c’étaient formes. Des miriades d’oiseaux géants brillants, non des reptiles géants aux ailes de chauves souris s’abattais sur la terre. J’entendais le praître me dire :<< c’est ainsi que l’humanitée commença est donna la vie sur terre. Ils avait fuit un autre monde pour se refugier sur terre, quand ils arivèrent ils moururent d’épuisement après leur long voyage. Alors leur âmes prirent d’autres apparences pour se cacher sous des formes multiples. En chaqu’un de nous, demeurent ces êtres, enfouis aux plus profond de nous même. Ils nous révellent de temps a autres leur savoir, croyant bien faire, et que nous utilisons a mauvaise éssiant. Ainsi vas l’humanité>>.

    Puis tous les personnages qui étaient sur le bateau se mirent a me parler, a me dire plein de choses sur la conception de la vie, je ne savais plus ou donner de la tête, qui il fallait écouter, tous me parlait en même temps et pourtant je les entendaient tous distinctement.

    Une lueur grandissante venait de la proue du bateau, je vis un énorme dragon de lumière qui voulait avaler le bateau. Je ne sais comment mais je me retrouvais a chevaucher ce dragon alors que le bateau disparaissait dans sa gueule, lorsque je relevais les yeux je voyais la planète terre devant moi ce rapprocher. Il y eu comme a manqué dans ma mémoire , je ne sais comment j’atéris en forêt, ou tous étaient luminessant, ou je voyais la sève couler dans les feuilles des arbres, des myriades de petites torsades de couleurs étaient présent par milliers partout dans chaque plantes, qui se divisaient pour donner naissances a d'autre structures. Tout doucement j’entendais les chants céleste pour devenir de plus en plus distinct, puis une voie;

“Reste tranquille, dort tout vas bien, tu es revenue parmi nous , je suis a tes cotes, je reste dormir avec toi” Je reconnus la voie de mon amies, je tandis la main, elle passa ma main dans ces cheveux et sur son visage. Je m’endormis en entendant sans cesse dans ma tête la phrase qu’elle venait de me dire : reste tranquille, tu es revenue parmi nous…

    Un glou,glou d’eau bouilli me réveille, une odeur de café m’arrivais, j’ouvris les yeux, et je reconnu les murs de la chambre de mon amies que j’avais peinte. J’était étonné de me retrouver chez elle. Je rêvais de nouveau ou quoi? Non, il parait que je suis venus de mon plein grés en pleine nuit, chez elle. Je me souvenais pas de ça, et je ni crois pas trop, ils ont du me transporter, mais ça, je ne peus vous le dire. Dans tous les cas, on est dimanche matin, donc depuis la nuit de vendredi soir a dimanche matin, j’ai voyager et dormi.

    Elle me sert une tasse de café avec un croissant, je lui demande si elle la déjà fait cette exéperience , elle me répondit que non, par cequ’elle connaissait très bien ce passage. Elle me montra une bible avec des morceaux de papier pour marquer les pages, elle me lit un chapitre sur l’apocalipse: “Alors le serpent vomit comme un fleuve d’eau…et par la suite , il y eu un grand combat dans le ciel, et les anges furent précipiter sur terre…etc..

    Je revoyais défiler ce que je venais de vivre en même temps qu’elle lisaient les chapitres, tous devenaient plus claire et plus distinct. La lecture fini, elle me demanda d’aller se promener au pied de la St Victoire ( montagne situé à côté de la ville de Aix), ce que je refusa pas, j’avais besoin de calme et d’air. Son beau père nous y ammena.

    Tout avait un aspect différent, les gens, les routes, les arbres, on aurais dit qu’un nouveau monde c’était reconstruit.

    Je m'installe dans la chambre, tous les élèves viennent regarder le lowai (l'étranger) et même fouiller dans mes affaires, la curiosité .

     Le professeur de ces élèves qui doit avoir dans les 25 ans, me présente un jeune garçon , il tente de m’expliquer que ce sera mon “boy”, qu’il doit nettoyer mes affaires, la chambre, etc… N'étant pas habituer , je lui fait comprendre que je suis très indépendant. Plu-tard je m'aperçus que les plus ancien prennais un jeune élèves comme petit frère. En fait ces jeunes étant séparer de leur parents très tôt, retrouvait comme de l’affection en prenant quelqu’un avec eux, il n'était pas rare de les voire ce tenir la main entre eux et même de se toucher comme des amoureux. Il est 11 h est le jeune qui doit etre a mon service m'apporte ma gamelle, riz , légumes, un peut de viande et les baguettes, il ont très vite mange, pour profiter de faire la sieste, moi je vais me promener.

    Dans l'après midi je reviens chercher mon appareil photo, il ni a plus que mon jeune serviteur qui m’attendais, il me dit de venir avec lui, nous partons dans un petit chemin suivant un bras de rivière pour découvrir le lieu de travail des élèves, deux petites plate-formes de terre battu, dans une, une petite fausse rempli de 25 cm de paille, quand nous sommes arriver il étaient en entrain de s'entraîner a faire une pirouette et retomber dans la fausse, et pour démonstration le prof avait mis une épée, pour qu’il puisse passer au dessus, un des élèves rate sa pirouette pour retomber sur la tête dans la fausse, un frisson parcouru dans le dos que je me précipitais vers lui de peur qu’il n’est arriver une fracture des cervicales. Les autres en rigolaient , l'élèves se plaignais d’avoir mal dans le coup, le prof intervient en l'engueulant, et lui pris sa tête entre les mains pour lui tordre le coup comme tous les gens inconscients font pour enlever un torticolis, le gosse cria un coup et reçu un coup de pied dans le cul avant de partir je ne sais ou. J’en restais assis sur le cul de voire ça..

   La journée passe, le soir Sacha et mon Sifu (moine) m’invite a manger au restau. Mon Sifu était habiller de tenu de sortie, c’est a dire: basquettes nike, short nike, tee shirt nike et casquette du même nom. Au restau, on parle de choses et d’autres concernant shaolin, forcement, et a mon grand étonnement je le vois manger de la viande, boire de la bière, par la suite je l’ai vue dans une soirée bien arroser,  me dit qu’ a l'intérieur du temple les moines bouddhistes respectent les conditions imposes par leur foi mais qu’a l'extérieur, s’il sont habiller comme nous , ils mangent et boivent comme nous et font du business, même qu’ils ont des actions en bourse…Étonnant, sorti du temple ils se mélangent a la masse commune du peuple.évolution des temps

   Le lendemain matin réveil au petit jour, 4,30 h du matin, sans déjeuner petit footing, dans un chemin derrière le temple menant a la grotte de bodhidharma dans la montagne, puis des marches a gravir en courant jusqu'à la grotte, je me suis casse la figure quelque fois, les marches étaient en mauvaise états et a cause de mon accident je courre avec des mouvements en désordre, ce que le prof remarqua et dit lorsqu’il a vue mon Shifu, et je fus dispense des le premier jour de cette course au travers des marches.

   Pendant les premiers jours mon Shifu étant occupe je devais faire mon Qi Gong pendant la matinée et le prof me donnait des exercices de mouvements. Les nuits étaient courtes et vite passées, les jeunes faisaient du bruit très tard, claquant les portes rentrant sans demander, causant très fort, dormant sur le toit plat de la maison, le réveil étant de bonne heure, avec le lever du jour. Je commençais a apprécier la sieste.

   Après cinq jours vers 2 h du matin une envie de vomir, je cours vers les toilettes, si on peut appeler ça des toilettes, un carre de mur de un mètre sur un mètre et un mètre de haut, de quoi délimite que c’est les toilettes, quelques briques par terre pour ne pas marcher dans la merde des autres. En y arrivant c’est une envie de diarrhée qui me prend, je me tiens au mur, quand la première diarrhée fut passer je me lève pour vomir par dessus le mur, et ce fut 2 h de calvaires, quand je vomissais pas, j’allais en diarrhée. Jusqu'à ce que les jeunes ce réveillant viennent me rechercher. Je tenais plus sur mes jambes, vide littéralement. Je pris mon moxa (cigare ‘d’armoise que l’on se sert pour chauffer les point d'acuponcture). Mon Shifu arrive avec Sacha, il me demandent ce que j’ai, la réponse du Shifu et très rassurante : “Quand on est empoisonne par la viande avariée, acupuncture ou Qi gong ne peut rien faire, on y passé” Je me voyais finir mon séjour rapatrier sanitaire. Ils m'attrapèrent par dessous les bras et m'amenèrent dans une officine médicale. Et je passais la journée avec des  de sérum pour éviter la déshydratation, le soigneur y injectait les médicaments. Le soir je tenais debout. Il me dit en chinois : “que même si çà vas mieux demain de revenir”. Mais mon chinois n’étant pas parfait je compris que si çà vas mieux je ne reviens pas. Le lendemain je me reposais sans aller a l’officine, l’erreur fut fatal , dans la nuit qui précède fièvre et je me suis fait sur moi. Retour a l’officine pour deux jours avec trois bouteilles de sérum par jours. Pendant ces deux jours j’ai vue défiler des jeunes qui venaient se faire soigner pour des mains exposées par des frappes intensives ou des visages esquintées par des bagarres, quand ils ni avaient pas de coupures par des armes.

    Mes dix premiers jours furent un peut mouvementer, je décide de prendre une chambre a l'hôtel pas trèsloin de l'École pour mieux me reposer et pour manger plus correctement.. Un matin mon Sifu viens sur le terrain d'entraînement me dit d'aller déjeuner très vite et de revenir avec une bouteille d’eau. Revenu, il me dit “qu shang shan’, (partir dans la montagne) et nous partons tous les deux.. 2 heures de marches dans la montagne pour arriver sur un petit promontoire plat de 2 metres carre surplombant un précipice d’une centaine de maître de haut, et me dit ; maintenant, : QiGong Shaolin. Il me montra un mouvement, une foi, et me dit : congzouo (travail), lui il s'assit face au vide et médite, me tournant le dos, tandis que moi je commence a répéter le mouvement indique. Après un long temps de répétitions du même mouvement il se retourne me regarde, se lève et me montre un deuxième mouvement, puis de nouveau s'assier  pour méditer sur le rebord de la falaise. Un bon moment passé encore, je répétais le premier mouvement et le deuxièmes, une heure, deux heures que je rejetais. Puis il tourna la tête, me regarda faire , me dit ;”bu hao”, (pas bien) “ni bu kan hen hao” (tu n’a pas bien regarder). Il se leva ; “kan”(regarde). Il me montra une fois le deuxième mouvement plus lentement, puis me regarda le faire, et il s'assit de nouveau. Je compris que si je voulais avancer dans les mouvements et de na perdre du temps j’avais intérêt a bien regarder se qu’il me montrais. La journée passa vite avec deux mouvements a mon acquis, nous descendons dans la soirée, ce qui veut dire que nous avons rester la journée en haut sans manger. Le soir venu il mange avec moi au restaurant simplement un bol de riz. me dit a demain , et que nous allons dans la montagne travailler.

    Ce que je fit avec lui pendant les 10 jours qui ont suivis, tous les jours nous partons a 6 h du mat pour deux de marches, retrouver l’endroit ou il médite et moi ou je travail, toute la journée en haut sans manger et le soir retour, deux heures de marches. Un soir ou je profitais que  mangeais avec nous pour demander s’il ne mangeai seulement qu’un bol de riz le soir et ce qu’il mangeai le matin. La réponse fut un bol de riz le matin et le soir un bol de riz. Je trouvais cela insuffisant, il vu mon regard, et parla a  Sacha  qui me traduit. “En fait pendant que nous irons a la montagne il ne mangera que ça, il dit que quand il mange sont bol de riz, il trouve dedans toute la force nécessaire qu’il a fallu pour qu’il arrive jusqu'à lui: la serveuse qui lui a donner avec l’honneur de le servir, le cuisinier avec tous l’amour qu’il a mis dans sa cuisine, le transporteur qui a mis toute sa force pour porter les sacs de rir, les paysans qui ont cultiver avec ferveur ce riz, le laboureur avec son bufle le courage qu’il a mis pour façonner son terrain, le soleil, la pluie, l’eau qu’il a fallu pour que ce riz vienne a maturité, l'épi de riz qui a donner un nouveau epi de riz pour arriver a moi pour me nourrir, ainsi il va puiser a l’infini toute l'énergie du riz qu’il mange”. 

    Au troisième jour ensemble il me dit que si je veux je peut aller méditer avec les moines le soir au temple, je ne fait pas prier, je suis d’accord, et dans ma tête quelque chose me fait reculer en allant au temple. Meditation Tchan, ancêtre de la méditation Zen, je pense que ça vas etre dur pour moi, en espérant que les méditations ne durent pas trop longtemps. Quand je rentre dans la pièce des moines sont déjà la, debout ,assis décontracté, plus ou moins allonger, se gratant le nez ou ce curer les oreilles. J'essaye de trouver un endroit pour m'asseoiren tailleur, je cherche qui pourrait avoir une position correct pour le copier, les regards vers moi ne sont pas marquer, une fois assis je regarde et j'attends, je me dit qu’ils attendent le Maitre de cérémonie, des moines rentrent, d’autres sortent et reviennent, puis après deux bonnes heures, tous le monde se lèvent et s'en va, je comprends que c’est fini, d'ailleurs on m’attend pour fermer la porte. Les jours suivant je reviens, les moines ont la même attitudes, cela semble plutota une sale de repos que de méditation, et je pense toujours qu’ils attendent le Maitre de cérémonie. Au quatrième jour Shacha viens manger avec nous , j’en profite pour demander comment ça se passe pour les méditations ? Shacha me repond que lui aussi quand on l’a inviter, il croyait que l’on attendait quelqu’un pour diriger la méditation, et ni comprenant rien il a arrêter au troisième jour. Alors je demande a mon Shifu: “La méditation tchan actuelle a évoluer avec le temps, elle n’est pas comparable avec la méditation zen, la position n’est plus importante quand on et continuellement en méditation, relation avec la plus infime partie de son corps comme avec l’infini qui nous entoure, les moines savent avant que vous ne rentriez qu’elle sont vos intentions, si vous venez en touriste on vous invitera a sortir, si vous venez partager votre travail de méditation, vous êtes le bienvenus, ainsi si on ne vous a rien dit, c’est que vous venez avec de bonnes intention, c’est a vous seul de rentrer en relation avec votre travail de méditation”. Donc il ne faut pas attendre que quelqu’un nous dirige dans le lieu de méditation.

    Dix jours passes a apprendre avec mon Shifudans la montagne, une forme de ba dua jing (huit pièces de soie) spécifique a Shaolin. Puis je lui est demande de travailler sur comment inniber la douleur, alors un matin. Il me demande de prendre la position d’embrasser l’arbre, (les jambes légèrement fléchi écarté de La largeur des épaules, comme si vous étiez cavalier , bascule du bassin vers l’avant, le dos droit et verticale, et les bras a hauteur de la poitrine en forme de rond comme si vous embrassiez un arbre), je me mis dans la position, et le il eut bien fallu que je me relâche au maximum et d’oublier la fatigue et les douleur parce j’y suis rester dans la position pendant 5 h. Il venait avec sa baguette de temps en temps me touchant les endroits a relâcher et a frapper les endroits ou les mouches venaient m’emmerder, et quand il en tuait une, on l’entendait dire “Ommi toufou”. 

     Le reste de mon séjours fut base sur d’autres exercices, des étirements, des méditations  des discutions sur la vie monastique de Shaolin,et des bouffes avec les francophones qui apprenaient dans différentes ecoles….

     L'année dernière j’y suis retourne., qu’elle changement : ils ni a plus d'écoles, plus de magasins, plus d'hôtel, tout le long de la route qui mène au temple. Dans la grande école de wuchu guan, la sale d'entraînement des étrangers et devenue salle de spectacles, l'hôtel est fermer. .En fait ils ont reconstruit un petit village cacher du regard des touristes, il y a trois ou quatres écoles, tenues par des anciens moines, et quelques petits hôtels minables et sales., le village a été construit en 2001 mais je peut vous dire que l’on dirait qu’il a plus de cinquante ans…

     Avant si vous y venez chercher la spiritualite vous étiez déçus par le business qui y é autour mais au moins il y avait de la vie. Maintenant c’est devenu un parc d'attraction pour touriste avec quelques fonctionnaire habiller en tenu grise de moines pour ne pas les confondre avec les vraies en tenue de couleur safran que l’on voie pas. 

     Je remercie Sacha de m’avoir permis de rencontrer mon Shifu, d’avoir traduits, d'être venu me soutenir pendant que j'étais malade.

     Je remercie mon Shifu de m’avoir accepter, et d’avoir appris auprès de lui.

     Je n'oublierais pas ces gosses de cette école, et les francophones pour les soirées ensemble.

rajout:Mars 2008

Suite à de nombreux messages laissés sur le blog ou envoie direct par email pour me demander comment rentrer ou vivre à Shaolin, je met en ajout, ci dessous, une réponse faite pour un des lecteurs de mon blog et de cette article. J'avais déjà fait un avant propos sur la cituation actuelle de Shaolin quelques paragraphes au dessus (en souligné) Vous pouvez regarder aussi les quelques nouvelles photos sur Shaolin mis à votre disposition dans les catalogues photos.

Pour apprendre le Hungfu ou le wu shu, tu peut l’apprendre partout dans la chine. Le seul hic c’est de trouver la bonne école qui te convient, financièrement, (ont peut toujours discuter les prix) les conditions de logements, (tous à revoir, bruit et insalubrité des toilettes), les conditions de nourritures, (pas facile les baguettes, non, c’est plutôt une question de goût)  la difficulté de langage, (l’anglais à la sauce chinoise) et la différence culturel. Le temps des heures creusent ce fait long, et la télé est rabageoise. Tu peut tomber, aussi, dans une école ou le statut militaire n’est pas très loin.

Quand à vivre au temple de Shaolin, le rêve reste rêve, et peut y ont eut accés en temps qu’étranger, cela ce compte sur les doigts d’une main.Ceux qui ce disent moine de Shaolin  cela leur regarde, mais jamais aucun étranger n'est sorti moine de Shaolin, beaucoup ont appris dans les écoles qui se trouvaient là autour du temple au par avant. Depuis la réforme du nouveau directeur des lieux mis en place en 2000, shaolin à trouver sa nouvelles structure touristique que l’on visite en petite voiture électrique dans un lieu de verdure tout récent ou seul,  une école à l’entrée est rester pour montré aux touristes que le kung fu  existe toujours. Et n’oublions pas les grandes démonstrations faites dans le dojo de l’ancienne école de Wushu guan.

Le village y a été détruit est reconstruit à l'abri de toutes vue touristique, ( ont évite de par les poubelles qui débordent et qui se trouvent à l’entrée). Pour y accéder en face du temple, de l’autre côté de la rivière, un petit chemin qui monte sur le coté gauche du temple ou ce trouve à l’intérieur tous les boudhistava. J’y est vue une petite école tenu par un ancien moine. Y avoir accès, je sais pas. La plupart des anciennes écoles qui ce trouvaient sur Shaolin ont trouvé refuges sur Denfeng, à 15mn de là, J’ai pas plus de renseignements.

Visite Shaolin, c’est quand même a voire. Septembre dernier j’y suis passé avec des Canadiens, ils ont été dessus par le coté rêve touristique et l’affluence de monde.

     A la demande de Jupiter, voire son blog dans mes liens, Je vais vous concocter un petit reci sur les oeufs de cents ans, un de mes met favori en chine. Il faudra attendre quelques jours pour ca. Il faudra revenir me voir, cela vaudra le coup d'oeil, ce qui est dommage, c'est que vous n'aurez pas l'odeur, desole...

     laisser un mot lors de votre passage cela me faira plaisir, et demandez moi si vous voulez connaitre quelque chose de particulier sur la vie en chine...

    A tien, au moment ou je vous ecrit, 10h du soir, il y a un feu d'artifice, quelqu'un viens de finir sa vie sur cette terre. demain on aura le droit aux petards.

     Amities a tous.

A L'anniversaire d’une amie don j’étais invité, il y avait une personne qui faisait du magnétisme auprès des gens qui supportais mal leur douleurs, nous avons parler longuement du pouvoir de guérison. Dans le courant de la conversation il me dit :

 “Vas a Saint Gilles, c’est pas loin, c’est un petit village a quelque kilomètres au sud de Arles, Il y a au centre du village une église, tu ni rentre pas, mais vers la droite tu as l’accés à une Crypte, tu dois y aller, tu y trouvera certainement des réponses.”

 La soirée passée, le temps s’écoule. Le printemps marque ces premières chaleurs.

 Le week end, j’aime sortir, je décide d’aller, avec mon épouse, en camargue avant que les moustiques d’été ne fassent leurs apparitions. En camargue je prends la carte routière pour prendre des routes différentes que lors de mes premières visites, je lis : Saint Gilles, cela me revient que le magnétiseur m’en avait parler et comme je n’y étais pas très loin.

 J’y vais. On passé un pont qui surplombe le canal de province est on rentre dans Saint Gilles, le village n’a rien de particulier, typique, mais sobre. Par une petite rue, a pied nous arrivons face a l’église. La devanture vaux le coup d’oeil, sur la droite une grille, un escalier descend perpendiculairement a l’église et nous rentrons dans la crypte.

 Je vois une femme (Magdeleine, de son nom) assise au premier rang d’une seéries de chaises, elle nous regarde rentrer et je lui dit bonjour, elle me répond et nous laisse regarder et visiter la crypte.

 Lorsque je suis passer devant le tombeau de Saint Gilles, personne n’éxistais plus pour moi, je restais dans ma bulle, subjuguer par les lieux, un silence comme jamais je n’ai eu, un recueillement totale, je continuais a observer les lieux seul. Puis je m’assis sur une chaise au bord de la traverse centrale, juste sous une voûte. Je ne bougeais plus, j’entendais des petits tintillements dans mes oreilles, comme des morceaux de cristal qui s’entrechoquaient doucement en dévalant.

 Cela s’arrêta lorsque Magdeleine s’assis devant moi, je n’avais même pas vue ni entendu qu’il y avait un groupe de personnes qui était rentre et que Magdeleine les accompagnait, servant de guide pour expliquer les lieux. Ils s’étaient tous assis sur l’autre travée de chaises et écoutaient les dernières explications de Magdeleine. La visite étais terminée pour eux, ils partirent.

 Magdeleine resta assise en face de moi, ayant tourne la chaise légèrement pour parler aux visiteurs elle la tourna encore plus pour se trouver face a moi. Elle attendit que le silence soi revenue, regarda ou était mon épouse qui c’était assis vers l’entrée, elle me dit:

 “ Bonjour Marc, je m’appelle Magdeleine, j’ai parlé a votre épouse, elle c’est qu’il y en aura pour un moment, elle attendra, maintenant vous savez pourquoi vous êtes venu ici, et pourquoi vous vous êtes assis a cette endroit et pas ailleurs ?

 Je lui fit signe de la tête que non, aucun mots ne pu sortir.

 Elle me raconta pourquoi elle était la, et les initiations qui se faisait ici autant des Croisers et des Catares dans ces lieux.

 Elle se leva, mon épouse était sortie, elle ferma la porte a clef et revint.

 Elle me disait que pour leurs initiations, ils restaient enfermer dans ces lieux pendant sept jours. Et que nous ne pouvons faire pareil. Je récu une initiation.

 Elle me posa une série de question spirituel don j’étais loin d’en savoir les réponses, elle me demanda de répondre avec mon Coeur. Et me dévoila certain secret qui appartenais a ces lieux.

 Lorsque je sorti elle fermait la crypte derrière moi, elle y restais dedans, il étais 6h 30 du soir, la grille d’entrée était fermer d’un cadenas qui n’étais pas enclencher, mon épouse m’attendait assise sur les marches d’escalier de l’église, elle me dit refermer la grille avec le cadenas, qu’elle a eu peur quand une personne est venu fermer la grille avec le cadenas. Elle me demanda qu’est ce qu’on avait fait, je lui est répondu : discuter. Elle compris que je ne pouvais pas en parler.

 Cette même année, ma petite famille part en vacance a Sept dans l’Erault sans moi. Fleur ma première fille se fait mal au genoux des les premiers jours. Cela s’aggrave avec épanchement de synovie, le docteur préconise une ponction. Lorsque l’on me le dit au téléphone, je me connecte sur Fleur, et je dit d’attendre qu’elle rentre. Lors de leur retour, je leur demande de passer par Saint Gilles. Je les attendaient. Nous descendons a la crypte avec ma fille, je la place a un endroit ou magdeleine m’avait indiquer, le lendemain le genoux était dégonflé, quelques jours plus tard elle marchait sans gouttière et béquilles.

 Quelque année après des amis Annecy, qui partais en vacance a Agde, passaient a la maison déjeuner, je les accompagnais pour aller a Saint Gilles voire la crypte que je leur avait parle. Dans la crypte je leur parlais de la guérison de Fleur, et Silvie , me dit que si ça pouvais guérir du quiste qui se trouve sur la colonne vertébrale de Didier, son mari, ce serais bien. Je le me mis au même endroit que l’on m’avait indiqué. En rentrant de vacances, ils me téléphonnairent, que les vacances c’étaient bien passé, mais surtout que le quiste avait disparu.

 La crypte est placée a l’intersection de deux veines téluriques, une veine d’Argent qui démarre d'une chapelle dans Nime et une veine d’Or qui démare d’un château de Croiser, situer a Orgon au dessus de Pierrelat (si je ne me trompe pas) et descend pour se croiser dans la Crypte.

 Presque chaque année, je passe a Saint Gilles et je vais dans la crypte, j’y reste des heures, je me place sous la voûte ou j’entendais ces scintillements, je les entendais a chaque fois. C’est un grand moment pour moi de ressource.

 Ce que je trouve inadmissible, maintenant que Magdeleine ni est plus, c’est que ce soit l’office du tourisme qui en ai la charge, plusieurs fois j’y suis aller le dimanche et j’ai trouver porte close. Elle fait partie d’une des routes pour les pélerins menant a Saint Jean de Compostelle.

 Un lieu Saint lorsqu’il ni plus que le tourisme qui y passe, perd de sa force au fur et a mesure du temps, elle ne se recharge plus par les prières, le recueillement et les dévotions, les lieux se vident petit a petit, je trouve ça désolant. l’argent passe encore avant tous.

 Lorsque vous y passerez, ni allez pas en touriste, dite leur que vous ne voulez pas payez pour vous y recueillir

 Quand vous rentrez, face a vous, vous avez une voûte, elle est sculpté en zigzag, mettez vous le do coller sur le pilier de droite, en regardant celui opposer en diagonale, sur votre droite vous devez voire le tombeau de Saint Gilles. Rester le dos coller quelques instant en vous recueillant.

 Ne rentrer pas dans l’église elle n’est pas entière, elle a été reconstruite est le Coeur de l’église se trouve a l’extérieur, vous pourrez aller le voir en contournant l’église sur la gauche. Quand vous y serez regarder sur votre gauche, il y a une petite tour, a l’intérieur un escalier en Pierre d’un architecture que les Compagnons de France envient et viennent copier.

 Ni allez pas un jour de mistral, sa souffle fort a Saint Gilles.

 Allez manger une pizza avec des télinnes au bord du canal, et regarder les hirondelles qui ont leur nids aux fêtages des maisons, elles deviennent des oiseaux en voie de disparitions.

Aujourd’hui pluie .

 Ici, en Chine dans la province de Hube, la saison des pluies est arrives.

 J’ai vue sur internet, pas aux infos chinoise, par ce qu’il cache se genre d’info, il y a plus de 1500 morts et plus de 500 disparus du aux innondations, et aujourd’hui polution au mercure dans le sud ouest. Une goute d’eau dans un ocean, mais je trouve que l'on a ouvers le robinet en grand depuis trops longtemps et que la goute si est noyee.

 Si vous saviez, on me parlais de philosophie Taoiste et du respect de la nature, au plus profond de mes promenades dans ces montagnes de Wudang je n’ai trouver que saleter et ordures. Bon je ne vais pas faire leur proces, Peut etre qu’ils comprendront un jour, chacun a son heure d’evolution et de respect pour ce qui l’entoure.

 Aujourd’hui chagrin,

Il y a trois week end de cela, Juliet, et venu dans mon apart en pleurant, son mari ne veut pas de son fils, tu parle je le voyais bien, et Zezi, le fils de Juliet, n’est pas heureux de le voire. Elle me dit que son mari n’a pas de Coeur et que si j’aime son fils elle reviens avec moi. Pendant la semaine comme son mari va travailler tres loin et qu’il ne rentre que les week end, elle vient dormir presque toutes les nuits avec moi, nous avons fait meme l’amour, alors que son mari lui, fait abstinence depuis qu’elle est encseinte. Elle me parlait meme d’avorter, je lui ai dit que son enfant sera comme le mien.

 Le week end arrive, le mari rentre avec 15 jours de conget, ce qui n’etait pas prevus. Dans la semaine alors que le mari devais etre a la maison il nous surprend a discuter seul avec elle dans l’arriere de la librairie. Je reste a l’ecart pendant le reste des autres jours pour eviter qu’ils nous revoie ensemble. J’ai beau lui envoyer des messages elle ne me repond pas.

 Aujourd’hui comme il est reparti, je vais a la libraierie, Juliet est dans l’arriere de la libraierie elle se repose. Elle me voie et detourne le regard sans me dire bonjour, je m’assie a cote d’elle, je vois bien qu’il y a quelque chose. Elle me demande d’arreter notre relation, son mari a fait des menaces de tuer sa famille. Je lui demande si je dois partir, mais elle me repond que non. Elle veut me presenter une fille pour que je sois heureux avec elle. Je lui repond que je ne peus prendre une fille sans l’aimer, est que je ne les choisis pas dans un catalogue. J’ai eu beau faire, ici l’amour n’est pas primordial, l’interet passe avant tout.

 J’ ai ecrit ; le plus belle amour que l’on puisse donner a l’autre c’est de le laisser libre, Je me demande si je vais pouvoir.

 Hiers j’ai fait un tour sur le blog de Natalie d’Alsace, je lui est laisser un commentaire,

 je lui est ecrit: He Cupidon, apprend nous a controler le sens de tes fleches, apprend nous aussi, a pouvoir les enlever et a guerir de la blessure qu’elles nous laissent.

 Aujourd’hui c’etais un jour de pluies et de chagrins.