Souvenez vous j’avais laissé ce petit mot pour les fêtes de fin d’année :Allé! , une toute dernière, pour la fin de l'année: Je vais certainement me remarier avec celle que j'ai divorcé cette année, qui est encore ma femme devant la loi Française et qui n'était pas divorcé juridiquement devant la loi Chinoise de son premier mari pendant que nous étions marié. Vous avez rien compris, alors vous attendrez l'année prochaine pour en savoir plus.

Quelques explications : l’année dernière en Août j’ai divorcé de ma « tonquinoise ». Cela faisait plus d’un an que j’étast parti de chez elle, elle me téléphonais pour prendre des nouvelles et pour dire qu’il fallait passer par le divorce. Puis en un mois cela c’est accéléré, alors nous somme allés à Wuhan au service des mariages pour étranger, mais devant le plus placide et inflexible des fonctionnaires en vérifiant les papiers que nous avons pour le divorce, pour moi c’est simple : le Tirouennegen(certificat Chinois de mariage) et le passeport,  pour elle : le Tirouennegen et un genre de livret de naissance ou tout est répertorié, et là, le brave fonctionnaire lui fait remarquer qu’elle na pas fait tamponner le premier acte de divorce de son premier mari. Donc elle était  divorcé de son premier mari sur papier mais pas reconnu administrativement parce qu’il ni avait pas le sceau administratif. Stupeur, donc lorsqu’on c’est marié le fonctionnaire en place à ce moment là n’avait pas remarqué qu’elle n’était pas divorcé administrativement. Retour à Shiyan, puis la semaine d’après retour à Wuhan pour finaliser le divorce.  Dans la journée du divorce j’observais  un comportement de ça part plutôt comme une satisfaction et un remerciement. Pour elle les papiers c’était fini, pour moi les problèmes continus. Je fais un tour au consulat et je leur averti de mon divorce, là des dossiers à demander, a faire enregistré auprès du notaire chinois, traduction pour compréhension auprès du tribunal de Nantes et le tout certifié par le gouvernement des affaire étrangères. Merde. Je téléphone à mon ex pour lui demander ces papiers et qu’elle se présente devant le notaire. Holla ! des excuses, elle peux venir puis annule, puis demande à ce que je ma face aider par mon élève, qu’elle n’a  pas le temps, et cela traine deux mois. J’arrive à faire ces papiers, à les traduire, les faires devant le notaire avec ça présence, pas un mot de ça part. Et quand  que je lui dit que j’envois au consulat qu’il les transferts en France.  Re changement d’attitude, «  tu sais j’ai bien réfléchie, j’ai 42 ans maintenant, je ne trouverais aucun chinois qui veux d’une vieille comme moi, ils préfèrent ce remarier avec des jeunes filles, et toi tu ne fume pas, tu ne bois pas, tu ais joure au majong mais tu ne joue pas avec de l’argent, etc.… je vous passe les autres détails, enfin pour me dire qu’elle pensait q’ on pouvait ce remarier ??? Juridiquement cela est possible, devant la loi Française je suis toujours marié, et ici les formalités son sans complexe pour ça, fallait simplement que le consulat me face un papier que je pouvais me remarier avec elle. Donc je tarde à renvoyer le dossier du divorce parce si il part faut attendre au moins un an avant que le tribunal de Nantes s’occupe du dossier (lenteur administrative Française)

Au fur et à mesure de nos conversations par téléphone et email, je découvre qu’en fait, elle a voulu divorcé parce que l’appart ou elle était appartenait toujours à son ex mari mais qu’il lui avait laissé pour sa fille le temps qu’elle n’irait pas en université. Donc elle pensait racheter cette appart à son ex mari, mais lui avait augmenté le prix du fait qu’elle était marié à un étranger, et, que si elle l’achetait le temps qu’on était marié elle avait peur que l’appart était de moitié pour moi, donc en divorçant elle l’achetait à moindre cout et l’appart était qu’à son nom, ce quelle insistait dans ces email en disant « j’ai le certificat que l’appart est à moi maintenant ».

Mais ça c’était encore un côté cacher parmi d’autres. Elle vient chez moi à Wudang, elle m’invite chez elle de nouveau, bref elle m’amadoue. Et quand elle commence à me parler de mon visa, que le flic des services de l’émigration  lui avait fait peur en Juin dernier quand je suis rentré en France, que ce ne serai pas possible de renouveler. Alors si on ce remariait cela sera possible, et ces conditions tombèrent : je dois payer tous les frais de la maison, eau, électricité, gaz, les courses pour manger, 1500yuans pour elle, dans sa poche, et 500yuanns pour sa fille par mois. OUPS !.

Ainsi elle pensait que je pouvais être tranquille pour mon visa si je lui donnais de l’argent, mariage contre visa. Sauf que ce visa allait me revenir un peux chère, et l’amour dans tout ça ?, non, non tu peux continuer à vivre à Wudang, de toute façon ma fille n’as pas l’habitude que quelqu’un d’autre vive ici, et en chine les chinoises quand elles ont la ménopause c’est trop difficile de faire l’amour ??? En chine un proverbe dit : quand on ce mari avec un Han c’est pour ne pas manquer de riz dans son bol, alors avec un étranger j’ai envi de m’acheter de belles robes ??? Soit, mais avec 1500Yuanns par moi c’est des robes de collections qu’elle vas porter pour aller au travail !!!

Conclusion : non, je ne suis pas remarié, j’ai été faire renouveler mon visa à Hong Kong, cela m’a fait voyager. une page à été écrite sur le sujet "visa".ici
 J’ai fait envoyer les papiers de divorce au tribunal de Nantes. un an de célibat, avis aux rêveuses.

PS : le feuilleton n’est pas encore fini, vas y avoir des rebondissements.

Avis :

Vue l’expérience de ma vie amoureuse, de ce que j’entends, de ce que je voie, des entretiens que j’ai eu avec du personnel de l’ambassade,

Vous les jeunes qui arrivent en Chine trouver « l’amour » réfléchissez bien avant de vous marier, la déception sera grande quand vous saurez leurs fonds de pensées, croyez moi le jeu de dupe est constant.

Evolution de la grippe A/H1N1 dans le Hubei et le Hunan

Au 27 novembre dernier, le Bureau de la Santé du Hubei a enregistré 2 199 cas de grippe A/H1N1, dont 1 989 guérisons, 56 malades hospitalisés, 153 patients traités à domicile et un décès.

Du 21 au 27 novembre, le Bureau de la Santé du Hunan a enregistré 1 023 nouveaux cas de grippe A/H1N1 et 6 morts, dont 3 cas de victimes souffrant d’autres maladies mortelles. Au total pour le Hunan, ce sont 5 716 cas de grippe A/H1N1 recensés, dont 3 905 guérisons, 725 malades hospitalisés, 1 079 patients soignés à domicile et 7 morts. 

Changjiang shang bao & Hunan ri bao, dimanche 29 novembre 2009

Je peux vous dire que hiers je suis allé à la ville, Shiyan, personnes n'a de masques de protections (vous avez tous vues des photos de chinois avec leur protection de tissus, fait maison, contre le froid devant la figure) et dans les cars tous le monde toussent sans mettre la main devant la bouche sans compter les crachats qui peuvent suivre...Part contre moi en tant qu'étranger, j'ai eu une fois le malheur de m'étrangler en avalant de travers ma salive, je me suis mis à racler ma gorge et a tousser légèrement, je peux vous dire que les gens autour de moi on laissés les places libre et je ne vous dit pas ce qu'ils ont dit sans qu'il sachent que je puissent comprendre le chinois!!! ça, fallait que je le dise, ça m'a resté un peut en travers de la gorge,
L'actualité de la "pandémie" de grippe A (Feuille de calcul gérée par Phil') est à cette adresse : http://terresacree.org/grippeexcel.html C'est l'une des pages les plus visitées du site, qui reçoit maintenant plus de 6000 visiteurs par jour. Actualité du cite Terre Sacré.

Pour plus de compréhension sur le déroulement du voyage, commencez par le début  clic ici

Nous rentrons de notre expédition de la journée, du village des Miao, vers les 5h de l’aprèm à l’hôtel, le patron des lieux nous propose une autre journée dans un autre village, une autre ethnie, mais le collègue préfère partir demain, il veux se reposer pour l’instant pour aller plus tard encore passer la nuit sur Internet, apparemment il a un problème. Pour ma part je décide de nouveau parcourir les ruelles et les bords de la rive de ces lieux, et je ne serais pas seul, lors de notre journée j’ai fait connaissance d’une photographe de Pékin que j’avais aperçu à hôtel, et lorsque j’ai voulu sortir elle était dans la salle d’accueil et m’a demander se que je faisais, je lui répondu : promenade, et je lui est demandé si elle voulais venir avec moi, ce qu’elle ne refusa pas. Etre accompagné avec quelqu’un qui est du pays et est qui est de plus une charmante Chinoise n’est pas désagréable. La soirée était pleine de découverte, d’explication de compréhension, et d’incompréhension, je n’avais pas pensé à prendre mon « traducteur » (dictionnaire) avec moi.

Le lendemain fallait faire bouger le collègue, et départ pour Jishou, par le car, trois heures de routes. Arrivé, direction la gare pour réserver nos billets de train pour le retour, je trouve cela un peut « chiant » de pendre les billets a l’avance, cela nous contrains à délimiter notre séjour, donc si on veux rester plus sur les lieux, on ne peut pas, enfin si on peut toujours. Déjà prendre un billet c’est souvent faire la queue pendant un bon moment, et quand vous y êtes on vous dit que c’est pas le bon guichet, ou vous n’arrivez pas a vous faire comprendre, ou comprendre ce que dit l’employée derrière sa vitre qui parle dans un haut parleur au son inaudible, sans compter le bruit dans le hall ou du chinois qui parle à la même employée que vous, par-dessus votre épaule, alors faire échanger d’un billet et un peut le parcourt du combattant, même en sachant parler le chinois. Et ne pas réserver peut s’avérer à passer notre voyage debout dans le train par faute de place, expérience à faire.

Comme il est midi, déjeuner aux abords de la gare dans un bibouis, on nous a prix pour des touristes d’affaire, bouffe dégueu et chère, et cela arrive très souvent, au moins quand vous allez dans un Mac Do ou KFC, vous savez ce que vous mangez et les prix sont affichés. En sortant je me suis rabattu sur un paquet de gâteaux acheté dans une superette pour combler le vide de mon estomac.

Le mini bus pour Dehang se trouve sur le coté de la gare, trois quarts d’heure suffisent pour y arriver, on est les seuls touristes étrangers pour l’instant. Prise d’une chambre d’hôtel, pour le collègue, la même habitude, dormir, et pour moi découverte des lieux.

Petit village tranquille, coincé entre trois vallées aux falaises découpées aux couteaux. Toutes petites ruelles aux maisons de bois est pont de pierre en voûte, chemin aménagé, on rencontre les gens du village dans leurs occupations, Dames âgées tisserands, Hommes vanniers, restaurant typiques ou magasin de souvenir, ou simple villageois affairer dans leur tache quotidiennes, habillés la plupart dans leur costumes traditionnels.

Dans la fin de l’aprèm, trois, quatre autres étrangers arrivent avec des différents mini bus, dons un, la tête sortant du mini bus, regardant de partout ou il atterrissait. La guitare dans le dos il se dirige vers nous. La discussion avec mon copain, qui avait fini de récupérer de son manque de sommeil, commence en anglais, et après quelques phrases je les interromps en leur disant d’arrêter de parler l’anglais et qu’il ferait mieux de parler français pour mieux ce comprendre. C’est très marrant de rencontrer des Français et de croire que l’on est obligatoirement anglophone, le réflexe est de se parler en anglais, mais un français qui parle l’anglais est très typique et reconnaissable dans sa prononciation. Nous avons passés la soirée ensemble, originaire de Corse il nous racontais son tour du monde, amoureux de la nature il nous décrivait les paysages qu’il a vue, ces bons moments en Amérique du sud, et un peut ces déboires. Nous tardions, comme tout bon Français, à table, nous avons oubliés que nous étions dans un petit village et que tout le monde ferme de bonne heure, y compris les restos.

Normalement le soir on danse sur la place et en repartant à l’hôtel, ont voie les gens du village jouer avec de gros dés de 40cm de côtés comme au casino, avec de l’argent bien entendu. Nous passons une nuit dans un calme de campagne aux sont des grillons, des cris des oiseaux de nuit, des chats qui miaule et qui finissent par se battent et des moustiques qui avionnent. Le lendemain, levée au petit jour, surprise, au village ça tarde à ce lever, je connais les chinois beaucoup plus matinaux, mais a quoi bon ce lever de bonne heure quand le premier car de touriste ne vient que vers 8h30. En tout cas bien agréable, fraîcheur des lieux et peut de bruits, les restaus pour les petits déjeunées ne débordent pas dans les ruelles et les échoppes s’ouvrent doucement. Vers l’entrée du village, dans la matinée à 9H30 et dans l’après midi à 15h, et pendant 20mn, sur une place de représentation en pleine air aménagé et ombragé, un défilé de mode de jeunes filles et de jeunes gens habillés de costumes traditionnels, vous présentent les différents costumes des ethnies et de quelques traditions, cela fait vraiment défilé, mais c’est beau. Pour clore le spectacle on met à contribution quelques jeunes hommes venus en touriste, pour un jeu traditionnel de tire à la corde contre les filles, attention, on n’y est pas gagnant.

Voilà, ballade dans une des vallée, chemin aménagé mais reste sauvage, et on attend le dernier car du soir pour repartir sur Jishou et attendre notre train. Notre billet pour Xiangfan annonce le train pour 3h15 du matin, on finira par embarquer à 4h30 du matin, dur dur.

J’espère que cette petite excursion vous a plu, on ne peu pas mettre toutes les photos, mais une reste insolite, elle a été prise sur les bords de la rive à Fenhuang, pas besoin de traduction.