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PrÉSentation

  • : Vivre en Chine, mes Voyages, vie de tous les jours, mes amours, mes coups de coeur, ma vie après mon accident...
  • : Le plus belle amour que l'on puisse donner à l'autre c'est de le laisser libre. Celui qui reste, demeure dans sa prison. Loin de ma famille de France, au milieu de la Chine, j'attend celle que j'aime. Amour impossible puisque sa famille la remarié de force avec un autre chinois.
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Texte libre

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1 septembre 2016 4 01 /09 /septembre /2016 02:41
Tout va bien...

Comme il en a encore certains qui lisent mon bloque, rassurez vous je ne suis pas mort. Je suis toujours en Chine. Avec tous ces codes pour rentrer dans tous les sites, j'avais un peu oublié celui qui ouvre se bloque, et comme j'ai un autre bloque sur l'endroit ou je vis pour diriger ceux qui viennent visiter la montagne de wudang Shan, et que se bloque me prend du temps aussi, quoi que ça fait un moment que je ne l'ai pas mis à jour. Moi qui pensait être paisible dans ma montagne, je ne trouve pas le temps nécessaire de tout faire, soit les heures ont raccourcis, soit c'est moi qui fait le choses plus lentement. Non en fait y a un concurrent mondiale (facebook), sauf en chine, qui me prend du temps, mais grâce à lui, j'ai retrouvé des amis que j'avais perdu. Mais qu'est ce qu'il me dit? il dit qu'il est sur facebook, qu'il ni en a pas en chine, mais qu'il lui prend tout son temps ??? Ben , oui, y a des moyens de contourner la censure, mais c'est payant, rassurez vous, je l'ai pour l'instant gratuitement, comment? tout simplement parce que je fais parti d'un forum des expatrier en chine et qu'il distribue des "VPN" pour passer la censure , par vote des membres par ce qu'ils m'aiment bien. Donc vous avez compris, je suis sur tous les fronts quand je suis derrière mon ordinateurs. Et tenez vous bien, j'ai pas tout dit, j'ai aussi weichat sur mon smartphone, incontournable en chine, avec ça on fait tout, chater, envoyer des nouvelles, ou les regarder, payer tout; taxi, achats dans les magasins, billet de train, réservations, appeler des taxis, et j'en passe.., ne pas oublier, envoyer de l'argent à sa femme, y a aussi, ou un Hong bao.

Bon d'autres nouvelles:

Je suis remarier depuis 4 ans ou 5, je ne sais plus, non, pas d'enfant avec elle, sa machine et cassée, la faute aux moyens de contraception chinois. J'habite dans un immeuble administratif, que des fonctionnaires dans mon immeuble, que des flics, faut bien ça pour me surveiller. Ma femme à un boulot formidable, grâce à son travail on voyage presque tous les mois, on part une semaine, et on dort dans des hôtels thermales.

Moi cette année depuis le mois de Mars et les jours ou j'étais à Wudang, entre deux voyages, j'avais des invités venu visiter la montagne, Et je m'occupe de quelques ruches d'abeilles sauvages que j'ai. J'avais oublié, j'ai restauré avec un autre Français une ferme dans la montagne, il fait gite, si ça vous intéresse d'y dormir.

Vous avez compris ou passe mon temps, et j'ai pas tout dit...

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6 janvier 2011 4 06 /01 /janvier /2011 06:32

Salut
tout d'abord bonne année et avec tout ce que l'on peut souhaiter....(le rituel habituel paquet de vœux)
Tu n'es pas le premier qui m’envoie ce genre de demandes ou de questions, moi avec mes, bientôt, cinquante deux piges je n’arrive toujours pas à me situer, comment pourrais je t’aider alors, peut être simplement par mon expérience.

Comme tu peux le constater par la première phrase qui commence par les vœux de nouvel an, par politesse,  par tradition mais aussi par rengaine on remet toujours la même chose chaque année, et c’est comme ça que l’on tourne en rond, que l’on avance dans le même sens que le monde. Il est très difficile de s’en échapper, certain parle de karma ou de destin, j’ai remarqué que l’on a beau fuir, on remet toujours le pied dans le même plat. Quand en France je faisais annaliste auprès de « malades »je voyais bien cela, la continuité, l’engrenage, la mémoire ancestral, et j’ai beau le savoir je suis encore moi-même dedans. Je dirais qu’entre « malade » on se comprend bien. La société et bien Malade, et c’est quand ose enlever un peut ces œillères que l’on regarde un peu plus à l’intérieur de soi, comme un appel, on remet en question son existence.

Un proverbe dit : on sait ce que l’on perd, on ne sait pas ce que l’on gagnera.

L’existence est tellement confuse, ici bas, que l’on veut voire toujours ailleurs si elle est meilleur, on est tellement brouillon dans notre vie que l’on que l’on ne voie pas que c’est si simple de prendre la vie comme un don a l’humanité. (La simplicité est un don de Dieu, la complexité est création de l’homme).

Si on est si brouillon s’en ai pas tellement de notre faute, c’est tout ce qui nous entoure qui nous embrouille, la société veux que l’on se mélange dans un brouillon de conneries, de mensonges,  pour faire semblant de créer une unité mais en fait que d’être des moutons dans une religion, un groupe, une famille, une société ou tout autre rassemblement parce que on arrive plus a être seul et se comprendre, ainsi on maintien un semblant d’ordre dans un peuple (rassemblement d’individus voulant se ressembler). C’est ainsi que l’on se perd dans une aventure à qui dominera l’autre, le moi, en tant qu’individu, ou l’autre (qui est sois même), qui crois donner mais qui domine par ce que l’on l’écoute.

On ne sait plus se poser pour regarder. Je me rappelle quand j’ai présenté le reportage dans mon village sur la montagne sacrée de Tai Shan en Chine, deux personnes étaient dans la salle y avait déjà été, et voulaient faire voir a des amis ce qu’elles avaient vue, hors, à la fin du reportage dans le débat, elles ont reconnues qu’elles n’avaient pas vue, vue que les porteurs qui montaient des charges très lourdes par les 7000 marches jusqu’en haut. Voilà comment on passe à coté de la réalité.

Lorsque j’étais élève de Qi Gong on me parlait philosophie Taoïste, qu’elle a été ma surprise en arrivant ici de voire que derrière ce cache un tas de croyances et d’idolâtries et le non respect de la nature et du sacret. Combien de groupes viennent et s’émerveillent devant la nature d’ici, prennent la photo souvenir sans regarder en se posant un instant que tout n’est qu’une photo et que derrière les pollutions coulent à flot. En novembre j’ai rencontré un groupe, je me suis mélanger à eux et participer a une de leur après midi de pratique. L’enseignant parlait de respect des lieux, de foi, d’énergie, pendant que dans la pièce d’à coté j’entendais le cliquetis d’un clavier d’ordinateur, un moine taoïste regardait l’écran, donnant les ordres à l’employer d’écrire. Soit, la modernité est pour tous, mais la réalité est tout autre, l’ordinateur sert à attirer ceux qui sont en demande de recherche, on attire les gens par une belle page de cite web parce que ici on a besoin de plus en plus d’argent, car le directeur des lieux, (moine taoïste) roule déjà en grosse Buick mais qu’il voudrait en avoir encore plus. Voilà comment on attire les moutons au nom d’un lieu qui c’est construit pendant des millénaires et que l’on s’approprie au nom de l’argent. Mais pour le groupe il n’on vue que ceux pour quoi ils sont venu.

Si tu veux un conseil, tu veux voyager, voyage. Si tu veux voyager pour fuir quelque chose et trouver autre chose, tu ne le trouveras pas comme ça et si tu crois l’avoir trouvé dans cette direction, ce n’est qu’illusion.

Alors maintenant pose toi, et pose toi la question, tu t’es perdu où ? c’est qui ?, quoi ?, qui ne vas pas ? pourquoi j’en suis là ?

Souvent je le fait, je ne réfléchi pas est je ne fabrique pas de réponse (création du mental, du déjà vue, de la répétition, du mensonge), car les réponses sont claire quand on veut être claire dans sa vie, plus les réponses sont compliquer plus on refuse d’admettre les évidences.

Patience et acceptation en étant droit dans sa vie sans dominer et être dominé.

A débattre.

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3 octobre 2010 7 03 /10 /octobre /2010 05:31

En ce pemier dimanche d'octobre, après avoir bien réfléchi, ce sera mon dernier article.

Depuis quelques temps beaucoup de choses ont bougés dans ma vie, ces voyages, ces allés retour sur honk kong pour l'obtention d'un visa mon fait encore voyager seul. L'esprit de partage dans mon blog de mes voyages, de mes rencontres,de ma vie tout court, n'as plus d'intérêt pour moi de le faire, ce n'est qu'un partage virtuel, et tout conte fait je me retrouve quand même seul. J'ai entendu dire maintes fois de ce contanter de peut, de prendre toutes les petites choses de la vie comme un bonheur du moment, faut être simple d'esprit pour en rester là, partout ou j'ai été c'était beau, j'ai apprécié, j 'étais libre et pourtant je me suis ennuyé.

Et puis merde, n'importe quelles explications ne sufira pas à comprendre ce que je ressent.

Voilà ce sera tout, désolé pour mes lecteurs acidus ou d'un jour.

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24 août 2010 2 24 /08 /août /2010 12:41

7 Mai

Nous voulons partir pour la visite de deux villages. Nous allons à la gare routière, muni de notre Loneley Planet, et nous demandons pour aller  à Matang avant d’aller à Xijiang, « Matang, wo bu chi dao zai nali »ils ne connaissent pas le village ??? Bon on va alors à Xijiang et l’on verra après.

P1000637.JPGQuand on arrive vue d’en haut c’est beau, en bas c’est chouette, bien arrangé touristiquement et ça reste traditionnel.

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Gros bourg Miao, la majorité des femmes sont en costume traditionnel, avec dans les cheveux en chignon  une grosse fleur de soie de couleur pétante. Tandis que chez les hommes seul les anciens sont habillés en traditionnel.

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Les magasins sont tous dans la rue principale et c’est les bijoux en argent qui sont fabriqués, la plupart sur place, qui sont les plus abondants.

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Nous flânons, c’est agréable, calme et vivant à la fois. Nous faisons un peut de prospection sur les prix des chambres, pas chère, maison traditionnel, bien aménager pour les étrangers, certains hôtel avec vue imprenable. Puis nous nous dirigeons vers la porte principale d’entrée du village ou une cérémonie d’accueil se fait tous les jours en fin de matinée, musique et représentation de costumes traditionnels, défilée de jeune fille Miao et de grand-mères.

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Les jeunes filles vous attendent en dansant au son de la musique des flutes de bambou, sur quelques pas, en vous offrant de alcool de riz servit dans une corne de buffle pour souhaiter la bienvenue. Les magasins me font craquer, j’achète bijoux en argent et des cornes de buffle. Après un bon repas, retour au car pour Matang, on se renseigne de nouveau, « ha ! Mais cen’est pas tout près, c’est  après Kaili, là sur la carte y a une erreur, ici c’est Langde, avant kaili ». D’accord,  y a une erreur sur la carte dans le livre guide, bon on comprend mieux pourquoi ce matin ils ne connaissaient pas ce village. Donc on prend un billet pour Langde, alors, le chauffeur nous dit que pour aller à Kaili il faut 25yuanns, qu’il faut changer avant en cour de route, donc 20yuanns ça ira, arnaqueur, nous prenons le car et nous descendons 15mn après à un croisement de route, et lorsqu’on prend l’autre car, il nous fait payer que 5 Yuans pour quinze minute de route. On nous fait descendre sur la route principal, et nous devons continuer à pied ou en moto, ils attendent le client au bord au départ de la route,  pour monter au village, un peu de marche à pied dans la campagne nous fera du bien, surtout que trente minutes plus tard nous sommes au village,

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il est petit, la particularité c’est comme il est accolé à une montagne, l’accès se fait que par des petits portes, aucun véhicule ne peux rentrée, y  a pas la place. Y a pas grand monde non plus, les seuls femmes autochtones que nous croisons finissent par donné l’alerte que deux étrangers sont dans le village, des femmes s’affairent à sortir leur panier remplis de babioles de souvenirs, de broderies faites à la main, de jupes et de vestes traditionnelles, c’est beau mais un peux chère.

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Comme on ne pensait pas que c’étai si petit, qu’on en a fait vite le tour,

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nous décidons de partir sur Kaili et de rejoindre si l’on peut avant le soir le village de Matant pour éviter de dormir en ville. Un bus nous descend sur la grande route, on attend que peux de temps pour un autre vers Kaili. A Kaili à la gare routière on nous indique qu’il faut aller sur une autre gare routière, une personne nous indique le numéro de bus qui nous mène vers l’autre gare, dans ce bus on nous indique nous qu’ au terminus il faut attendre en face du carrefour, juste au même moment que nous y arrivons, un dernier bus part vers la direction d’une ville passant par Matant. Au bout d’une heure on nous dépose sur le bord de la route.Une porte en béton qui enjambe une petite route, marqué aux idéogrammes du village, nous indique que nous somme sur la bonne route. Une demi-heure de marche à pied et nous y arrivons.

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Nous venons dans ce village parce que sur le guide il nous indique que c’est une ethnie Gejia  aux costumes différents.  La Déception est grande, nous nous attendions a un village au moins comme Langde, le village est encore pus petit et à moitié construit de maisons de briques et béton, le peut d’ habitants que nous croisons sont en tenu de Han de tous les jours. Et pas un seul hôtel, on fini par trouver quelqu’un qui veut bien nous parler, il commence à faire nuit et à pleuvoir. Il ni a donc pas de possibilité de repartir sur la ville. La seule possibilité et de se faire comprendre et de trouver à loger chez l’habitant, ouf ! Mais la parti n’est pas encore gagné, ils veulent en profiter, ma carte de guide  leur permet d’être un peux raisonnable sur le prix de la chambre repas compris. Quand le repas arrive je n’ai  plus pensée de leur dire : « pas trop pimenté » et comme je leur et dit que l’on mangeait comme eux ce fut une catastrophe : un Works,  bouillonnant, remplie d’un bouillon accompagné d’un  poisson plein d’arrêtes,  ne faisait que de remonter les piments en surface. Une bouchée m’a suffit de comprendre que ce n’est pas possible pour moi, dommage, je mangerais une autre fois. Nous dormons à l’étage dans une maison traditionnelle presque neuve. Elle est faite toute en bois, les cloisons donnant vers l’extérieur, comme ceux séparant les pièces,  son un peut ajourées certainement du à cause du séchage du bois, en tout cas l’isolation phonique et calorique et inexistante du au peut d’épaisseur des planches. La nuit se fera aux bruits de notre voisin qui rêvait, un homme du village, certainement là pour surveiller la maison, et des « groui groui » du cochon d’en bas.

Bon je ne peux plus pendant un certain temps continuer le récit de notre voyage, il faudra être patient, merci de votre compréhension.

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23 août 2010 1 23 /08 /août /2010 16:56
 

6 Mai

Ce refairer à la carte du 9eme jour pour nous cituer dans la chine.

Dès le petit jour nous voulons en profité, nous nous levons et après un petit déjeuné dans la rue nous nous dirigeons de l’autre côté du pont qui coupe la ville vers la petite route qui monte à Basha. On prend chacun un chauffard avec moto et l’on monte dans la montagne. Il ne faut guère de temps, 10mn après nous  sommes arrivé.

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Il y a là un contraste remarquable, entre en bas là ou il y a la ville et ce village hors du temps. Ici on ce crois vraiment hors du temps, les autochtones vivent vraiment avec leur traditions.

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Nous rencontrons une Suisse qui prend son petit déjeuné dans le seul  hôtel qui se trouve à l’entrée du village, et ni nous avions sus que c’était si peut loin et qu’il y avait un hôtel nous aurions préférés dormir ici. Elle nous explique leur coutumes et nous donnent des renseignements sur d’autres endroits et villages à visiter. Elle nous dit qu’aujourd’hui un groupe de Chinois arrive et que nous allons avoir le droit de participer a une cérémonie,

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que cette cérémonie normalement se fait tous les jours à l’aube avant qu’ils ne partent au champ, mais quand des groupes sont attendus, ils reculent ce moment pour que les visiteurs en profitent et que pour la même occasion pour que eux perçoivent un pécule. Un des membres du village ne nous oublie pas, il nous demande de payer pour participer aux festivités (20yuans) et nous pouvons suivre le groupe.

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Nous apprenons que cette ethnie parlent aux arbres, qu’ils ne vont jamais aux champs sans leur vieux fusil à chien. Les hommes gardent  le haut des cheveux long et forme avec un petit chignon.

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  En cour de chemin dans le village nous passons par un petit musé ou l’on peut admirer quelques peintures faites sur ce village et festivité des villageois, et à l’étage des photos montrant leurs coutumes lors des enterrements, très particulier, on peut y voir sur une des photos que le mort entouré d’un linceul est attaché sous un tronc d’arbre que les gens du village portent.

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Nous passons par de grands portiques qui doivent servir de séchoir, puis nous montons un petit chemin en reculons pour terminé par une salve de coups de fusil dans le ciel.

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Sur ce plateau dans la forêt des dansent représentatives et cérémonies.

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On serait bien resté, ce village et vraiment beau, calme, et très représentatif de ce nous cherchions,

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mais nous avons pris des renseignements pour continuer notre voyage et le car ne nous attendra pas si nous y sommes pas. Et malgré notre départ en début d’après midi nous arrivons tard à Leishan, nous avons passé un col de montagne et les routes étaient sinueuses. Nous trouvons un hôtel chinois, la personne que nous croyons être la propriétaire nous acceptes, et nous nous installons dans une chambre au confort rudimentaire.  Mais quand je demande des renseignements  pour le lendemain elle téléphone pour elle-même demander ou c’est, et là je comprends qu’il y a problème, pas au niveau des renseignements demandés, mais de l’acceptation de notre séjour. Quelques minutes plus tard le proprio et sa femme frappent à notre porte de chambre et nous dit que ce n’est pas possible de rester, je tiens tête et les discutions commence à monter de ton. Ma Carte consulaire et ma carte de guide fini par les persuader et fléchir dans mon sens, c'est-à-dire qu’il est trop tard pour chercher un autre hôtel. Ouf ! On peut chercher à se restaurer. notreconversation se porte sur notre découverte du village Basha, de ces autochtones,  et qui reste encore le village le plus marquant de notre périple.

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21 août 2010 6 21 /08 /août /2010 04:30

5 Mai 

carte-chine-zhaoxiang-basha.jpgNous partons pour la ville de Conjiang qui sera notre point de départ pour d’autres villages. Nous voulons allez au village de Zhaoxing, normalement le chemin se croise sur notre route, mais je décide d’aller jusqu'à Conjiang pour voire ou est la gare d’arrivée, précaution au cas ou ils y en aurait plusieurs. P1000556 Nous arrivons donc à Conjiang en fin de matinée, nous déjeunons en face de la gare routière et attendons le départ du car pour Zhaoxing à 13h00, nous faisons un bout de route en sens inverse de celle du matin ou nous bifurquons à un endroit ou nous avions devinés, en venant, que cela pouvait être la direction du village. Dès que prenons cette route elle devient chemin chaotique est poussiéreuse, nous roulons au pas, on croise des camions de chantier qui soulèvent des nuages de poussière. Cela dure pendant 2 heures, à une autre bifurcation on traverse un village de poussière et de boue, des canalisations d’eau coulent sans arrêt pour essayer de coller cette poussière qui transforme certain endroit en rue boueuse.PIC 3348

 

 

  Puis  on monte un peux dans la montagne pour passer un col et redescendre dans une vallée.

 

 

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  Le car s’arrête en plein le village de Zhaoxing, quelques rabatteuses nous accrochent, des  pancartes de bois peintes nous donnent les directions des hôtels. Nous sommes cassés par la route, et le village à première vue nous déçoit.

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Ce n’est pas vraiment de leur faute un chantier de construction d’autoroute ne passe pas loin, des camions doivent passer par ce village,

 

 

mais il y a comme un laissé allé.

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PIC 3342Nous faisons un rapide tour du village, le désordre et la saleté nous donnent vraiment pas bonne impression. Et comme je le pressentais, un village dit touristique ne peux qu’avoir des prix d’hôtel un peux élevés. P1000547

Encore quelques photos et rein a voire de plus, nous décidons de revenir à Conjiang,P1000546.JPG il n’est pas tard, 16h30, mais à notre grande surprise plus de car de retour à cause de la route qui est trop mauvaise. Après discutions ils nous indiquent qu’a partir du village que l’on a croisé, il y aurait un car de retour. On prend une estafette qui nous y amène.  Dans ce village de poussière et de boue nous demandons si il y a bien un car, oui, oui. On attend sur un des trottoirs d’en face des bus que l’on voie. Une demie heure ce passe, pas de bus qui démarre, je redemande, ha ! Mais ce n’est pas là qu’il faut attendre, c’est à trois, quatre kms de là au croisement de la nouvelle construction de l’autoroute. Quoi ! J’attrape la  personne qui nous avait renseigné qu’il fallait attendre ici, et je lui dis ce que je pense, sur le coté un chef de chantier qui avait amené des ouvriers pour acheter à manger entend la conversation un peux houleuse, et viens me dire qu’il peut nous y emmener, qu’il y a un car pour 18h00. Ouf ! Je voyais le coup que nous allions dormir dans un village vraiment sans intérêt. Il nous dépose au milieu de nul par, sur la route du chantier, après un quart d’heure d’attente, un car arrive et vas bien dans la direction que je veux. Deux autres heures de routes défoncées, et une heure de route presque normale pour arriver vers 20h3o dans la ville de Conjiang. La recherche de chambre passe avant tout, le premier hôtel on nous massacre, le deuxième ce n’est pas possible pour les étrangers, le troisième fallait le deviner, un couloir mène à un escalier, qui donne sur une terrasse arrière ou ce trouve l’hôtel. C’est bon, grande chambre, clim, et pas chère. Ha ! pas d’eau, c’est un comble après l’épopée de la journée et ce que l’on a ramassé comme poussière, ça le fait pas. On reste calme, le personnelle ni est pour rien, elle se dévoue pour nous donner des sceaux d’eau chaude, allé ! ça vas allé, à demain.

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20 août 2010 5 20 /08 /août /2010 11:25
  

4 Mai

Nous partons pour Chenjiang, nous devons passer par la ville de Sanjiang, quand nous y arrivons, nous faisons comme indiqué sur le guide, nous prenons à droite ne sortant de la gare routière Est, nous traversons le pont, puis encore à droite, et nous cherchons la gare routière Ouest,  nous descendons un peux la rue nous demandons, ha ! c’est plus haut, nous remontons et on arrive de nouveau presque au pont, pas vue la gare routière, nous redemandons, à c’est là, oups ! Coincé entre des magasins un escalier ou en haut de la porte une pancarte indique le dessin de vente de billets, fallait la voire. Mais lorsqu’on veut pour monter, une femme dans un car aux idéogrammes au nom de Chenyang, sur une pancarte derrière le par brise, sort sa tête de la porte d’accès au bus et  interpelle les gens dans la rue pour partir. Je lui fait signe, je m’assure que le car vas bien ou je veux allé, et on embarque. Après une bonne demi-heure, on sait que l’on est arrivé, une barrière et une billetterie nous donne le droit d’accès de l’autre que si l’on paye.  J’ai de la chance ma carte de guide me permet de ne pas payer, pas comme hier pour la montagne ou ça n’a pas marché.

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On démarre la visite par la traversé du pont du vent et de la pluie, et pour accéder aux villages. On dirai que le pont porte bien son nom, le temps et plutôt incertain.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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On trouve en entrant l’hôtel indiqué sur le book du guide, poussé par ma curiosité je fais dix mètres de plus pour trouver un hôtel qui m’attire, dans la plus pure tradition des constructions, tout en bois,

 

 

PIC 0222

 

  décors sympa, peintures, dessins au crayon des environs,  les proprios jeune et sympas, et les chambres très bien, le prix au plus bas.  On commence un peu la visite du village et à la recherche pour déjeuner, hum ! pas évidant, pas de prix affiché, pas forcément ouvert.

 

Le temps continu à ce gâter, même quelques goutes d’eau s’annoncent,  dommage une ballade en vélo pour aller sur un autre village était indiqué, 

on traine au travers les ruelles et les villages reliés par d’autres pont de bois.

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Seule une construction en parpaings ce différencie des autres bâtisses de bois, et beaucoup de nouvelles constructions sont en cour.PIC 3300

 

Le soir nous mangeons au restau de notre hôtel, surprise, sur la carte, des pâtes italiennes à la bolognaise, ouah ! Surprenant, on va voire ça, excellent, on en félicite la chef cuisinière qui n’est que la patronne des lieux.

 

 

  Bon ici le soir pas de Karaoké, t’en mieux, on pense dormir au sondes grillons, oups ! Qu’est ce que c’est ces voix ?

PIC 3292On est à deux cents mètres d’une salle commune de réunion.Tous les jours les hommes du village se réunissent pour délibérer les affaires du jour, de demain, etc. Sa parle fort, la salle est de bois ajouré, donc on entend bien, ça fait même un peux caisse de résonance, et sa parle longtemps…Alors nous on regarde la télé du coup en attendant que la réunion se termine.

Le matin nous somme réveillé par les travaux quotidiens, et par les travaux de la maison qui construise à côté. De toute façon on a de la route. On aurais passé une journée de plus bien volontiers c’est beau mais le temps n’est pas de la partie.

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18 août 2010 3 18 /08 /août /2010 14:35

3 Mai

Les Rizières en terrasses du dos du dragon, nous partons pour le village Ping’an, de toute façon pas le choix les cars vont à ce village.

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D’abord à la porte quelques magasin de souvenir et nous buvons un lait de soja fait dans la tradition. 

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 Je m’attendais à pire comme déco, mais le respect des habitations en bois traditionnel me surprend et contraste avec les panneaux  publicitaire décorant les ruelles et annonçant au bas de chaque bâtisses les directions à prendre pour telle restaurants ou hôtels. 

PIC 0160Nous rencontrons des Français qui avaient dormis dans un des hôtels pour voire ci les prix étaient abordables mais la réponse étaient plutôt de ce plaindre  du bruit des karaokés le soir qui résonnent dans tous les endroits du village et à l’intérieur des chambres en panneaux de bois formé de planche de 2cm d’épaisseur et parfois ajourées. Donc si vous venez y dormir pour prendre l’air pure de la montagne, oui, mais pas pour le silence, dommage.

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Nous prenons les sentiers balisés pour rejoindre un des villages ethnique, quelque plateforme aménagés nous font découvrir les terrasses des rizières et l’étendu du site.P1000535

 

 

 

En cour de chemin une femme de l’ethnie Zhuang en tenu traditionnel nous aborde et veux nous emmener dans son village, comme c’est là ou nous voulons aller, on a plus qu’a suivre, en chemin un couple de belge, un peu perdu, prend part à notre caravane, et heureusement que l’autochtone et là parce ce que pendant un moment un nouveau chemin, ou un engin motorisé peut y rouler, c’ est ouvert et non répertorié sur la carte, nous auraient déstabilisés dans la direction à prendre.P1000526

 

 

 

Sur le chemin ont croisent d’autres autochtones qui grossissent la troupe et nous mènent chez eux pour le déjeuner.

 

A un endroit ou une cascade forme un bassin naturel, elles nous vendent contre de l’argent le déploiement de leurs longs cheveux.

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Puis nous arrivons à leur village ou elles nous invitent à rentrer dans une de leurs maisons traditionnelles. Toutes les femmes s’affairent à préparer le repas, cuis dans la tradition et excellent.

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Quand l’addition arrive on discute un peu, on marchande le tout, faut jouer le jeu, et il faut bien se dire que pour 200yuans divisé en 4personnes ce n’est pas chère, pour nous,  et que,  pour eux,  cela fait un bon revenu d’appoint.

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Après manger nous reprenons le chemin et la femme du début nous accompagne, mais en route elle me fait des propositions plutôt coquines, cela me faisait rire mais ces propositions, pour aller à mon hôtel, étaient sérieuses. Il m’a fallu pas mal de diplomatie et de tact pour nous en séparer. Au fait ou sont les hommes???

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La femme du Belge s’inquiétait de la distance du retour, mais pour finir on a été plus vite que nous le  pensions à rejoindre l’autre village au départ du circuit.

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Ouah ! Une belle journée.

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14 août 2010 6 14 /08 /août /2010 04:52

2 Mai

Nous partons pour Guiling, le car nous dépose juste devant la gare ferroviaire, on pose les sac sur un rebord  qui entoure un arbre et nous voulons profiter de l’ombre que nous propose cette arbre pour se préparer à rejoindre la gare routière longue distance, quand un chinois nous accoste et nous parle anglais : this is my place ! Yoann le regarde étonné, me regarde, je m’approche du chinois et je lui demande ce qu’il veut, il me redit en anglais alors que je le lui parle en chinois : thi is my place ! En montrant de sa main et du doigt cet endroit. Nous sommes étonnés, Yoann lui répond en anglais en lui disant ou est ce que c’est marqué que c’est ça place, moi je lui dit en chinois, qu’est ce qu’il veut, et je lui dit qu’il plaisante. Mais il insiste, c’est alors qu’un autre individu arrive, m’accroche et me fait signe du doigt en disant « fuck you » plusieurs fois. J’en rigole et je reprend la conversation avec le premier individu en lui disant que nous partons dans cinq minutes, maisl’autre m’agresse de nouveau de son doigt en me bousculant et me disant de nouveau « fuck you » je descends mon sac à dos et le pose sur la margelle, je lui dit de s’en aller, en lui disant que ça ne vas pas dans sa tête, c’est alors qu’il nous sort un petit couteau suisse et me menace de sa lame, c’est alors que je lui dit en chinois que c’est un malade mental et que je vais le tuer, les gens amassé autour de nous alors ce dispersent et ce chinois ce met a partir très vite derrière les bus. On reste un moment à observer les alentours, plus personnes. On reste abasourdi de notre rencontre. On part vers la gare, en chemin on rencontre un gendarme je lui explique se qui c’est passé pour nous répondre « méi ban fa » (n’y rien pouvoir). Arrivé à la gare il n’est que onze heure, on se renseigne sur les départs des cars vers Longshen, y en a un vers 13h00, impeccable, on décide de manger tranquillement. On traine pour faire passer le temps. Lorsque l’on veut pour monter dans le car je regarde le numéro de quai et je demande à « l’hôtesse » si c’est bien celui là pour Longsheng, de sa main elle fait signe de monter sans prêter attention à nos billets ni nous parler. Dans le car aucune vérification, et on s’en vas, deux heures de routes et on arrive.

carte-chine-yanshou-guilin-longshen.jpg

Heu !  C’est bien Lonsheng là, hein ? Ha ! Non, vous êtes à  Quanzhou, ha ! Et il y a bus pour Longshen ?  Non, y a la montagne au milieu, il faut revenir à Guilin… Deux heures de retour, arrivé à la gare de Guiling, demander un responsable : explication, sans engueulade, malgré notre énervement, oui y en a encore un car, il part maintenant, et il n’est pas question de payer un autre billet. On part bien pour Longshen , arrivé 19h00, crevés de ce voyage, juste sorti de la petite gare routière sur notre droite nous trouvons un hôtel bien chinois mais convenable. On cherche un restau xinjiang, y en a pas, on se rabat sur un « chao kao dian »On choisi nos légumes qu'il fait sauter ensembles dans le work pour  8Yuans avec le riz à volonté.

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13 août 2010 5 13 /08 /août /2010 10:13

1 Mai

Comme nous avions décidé la veille nous allons à la grotte, nous passons par le village ou l’ex président Klinton est passé vue la photo affiché dans le village et face à la colline de la lune.

PIC_3239.JPG

Les marchands s’affairent à ouvrir et à arranger leur boutique de souvenirs et de babioles. Nous prenons une estafette qui nous mène à la grotte, le chemin n’a guère changé, il reste défoncé et en l’état, comme ça il ne reste qu’accessible qu’aux gens qui connaissent l’accès. Dans ces grottes, y a du kitsch, du faut,  de la reconstitution, et du reste presque en l’état, c’est le cas de cette grotte que l’on visite, ou juste l’accès est aménagé. D’abord en barque pour y rentré, P1000426.JPGquelques passerelles, des passages ou il faut marcher courber très bas,  et le chemin bétonné. Des lampes juste pour éclairer ce qu’il faut, même on vous prête une torche pour regarder ou vous voulez,P1000441.JPG

 

 

  mais pas de néons de toutes les couleurs dans tous les recoins qui fond de certaine grotte un côté discothèque.

 

 

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Au début un guide nous accompagne pour nous montrer quelques aspects de certaines stalagmites ou stalactites en forme de poisson sécher ou de tortue etc.

 

 

 

 

 

 

P1000454.JPG

 

 

et il nous donne la torche pour que nous continuions seul jusqu’au fond de la grotte.

 

 

 

 

 DSC09376A.JPG

En plein milieu de la grotte en revenant un bon bain de boue avec  photo souvenir, grâce à un ordi aménagé pour l’occasion. Pour les chinois cela sert de salle de cinéma, voire les étrangers, surtout les étrangères en petite tenu et pour visionner des films en attendant le client.

 

 

PIC 3244Retour dehors, oups ! il fait chaud. Retour au village, oups ! Que de mondes, mais oui, c’est le 1er Mai, ouah ! y a foule.

 

 

 

 

 

 

 

L’après midi nous partons pour le village de Xingping, Des voiturettes bus vous même aux embarcadères des « Bambou Boat » pour une remontée du fleuve li jusqu’au village de Lungshui cun, notre pilote n’a pas l’air pressé,

PIC_0149.JPG

 

 

on se fait doubler par des ordres de « Bambou boat »remplis de chinois, une vraie autoroute à radeaux,

 

 

et c’est là que nous nous apercevons, il n’a de « Bambou boat » que le nom,P1000458A.jpg ils sont fait de tuyau PVC blanc bouchés et pliés sur les bouts pour donner l’aspect des « bambou boat » d’origine, attachés entre eux ils forment  le plancher des vaches de l’embarcation, du moment que ça flotte, hein !

 

  Photos souvenir et on veut nous faire avaler des poissons frit dans l’huile, que nous refusons poliment,  qu’une bande de marchands installés sur les berges font cuire et recuire.P1000480.JPG

  De retour à Yanshou  la route est coupé pour l’accès à la ville touristique, on comprend vite pourquoi, une marrée humaine c’est engouffré dans la rue piétonne.

P1000499.JPG

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